Le discours s’ouvre sur trois attaques de cordes et des échos de vents, mais ne tarde pas à se détendre afin de laisser rentrer le soliste.
Une brillante danse permet au pianiste de montrer toute sa dextérité, tandis que l’orchestre l’accompagne. Elle exprime les racines de Chopin et rappelle le "krakowiak", une danse à deux temps du sud de la Pologne.
Comme dans un concerto classique, le soliste dialogue avec l’orchestre qui amplifie la fin des phrases de piano.
Ah, Chopin me fait danser !
C'est très surprenant !
26 juillet